<-- Retour Rapport de l'esclave Chris après un week-end de mise à disposition chez Maître Jacques et Maîtresse Isabelle

 
Madame Sylvie ma Maîtresse vénérée m'a louée pour un week-end à un couple de Maîtres.

Elle m'a annoncé mon affectation aujourd'hui vendredi et je dois partir rejoindre mes Maîtres ce soir et je leur appartiendrai tout le week-end jusqu'à lundi matin. J'ai préparé ma tenue absolument minimale car tout mon équipement pour ce séjour me sera fourni par mes Maîtres.

Je n'ai comme consigne que de m'habiller pour le départ, avec porte-jarretelles, bas noirs à coutures, un caleçon blanc en lycra, des anneaux de testicules et pour ma verge, le plug anal habituel et pour le haut un pull gris clair court et moulant à col roulé. Je n'ai droit à rien d'autre ni sur moi ni aucun bagage. Je me rends donc au rendez-vous convenu par ma Maîtresse qui est un bar où je dois attendre mes nouveaux Maîtres.

Le trajet a été assez pénible déjà car ma tenue était absolument impossible à cacher, d'autant plus que le pull, très court puisqu'il arrivait juste en dessous de mon nombril, ne pouvait en aucun cas cacher quoi que ce soit de mon anatomie. Le porte-jarretelles noir lui-même étant tout-à fait évident sous le tissus opaque certes mais si moulant du caleçon blanc.

Mon parcours dans les transports en commun ont été extraordinairement pénibles, car je savais le ridicule de ma tenue, les fesses largement dévoilées par le pull, montrant les jarretelles et la dentelle des bas, la couture des bas évidentes au niveau de mes chevilles, et surtout mon sexe rendu visible par l'anneau de testicules qui produisent un gonflement de mes testicules. Les anneaux de la verge ne lui permettent pas d'être très fortement en érection, mais le relief des deux anneaux larges de 1 centimètre, l'un à la base et l'autre juste sous le gland est évident sous le tissus si moulant. Combien de regards rieurs se sont posés sur moi qui avait reçu comme consigne absolue de ne jamais essayer de cacher avec mes mains et de toujours rester debout dans le métro !. J'en aurais pleuré de honte, et plusieurs fois j'ai été prise à partie par des groupes qui m'ont insultée ou se sont ouvertement moqués de moi. Mais finalement j'ai pu arriver au bout et je ne pensais qu'à ce qui m'apparaissait vraiment comme un délivrance maintenant, c'est-à-dire lorsque je serais prise en main pas mes nouveaux Maîtres. Je me suis installée selon les ordres de ma Maîtresse sur un tabouret au comptoir, j'ai commandé une consommation et j'ai attendu. Je savais que je devais être en place à 18h mais je n'avais aucune indication sur l'heure d'arrivée de mes Maîtres. Une heure après ils n'étaient toujours pas là et je commençai à m'inquiéter.

Un homme est même venu s'asseoir à côté de moi, Il ne s'est pas intéressé à moi tout de suite, mais en fait au bout de quelques minutes, il a commencé à regarder ma tenue, avec de plus en plus d'insistance. Finalement il a commencé à toucher ma cuisse, et à sentir la jarretelle et la dentelle du bas, sa main s'est ensuite aventurée vers ma verge qui durcissait spontanément maintenant. Il a senti très rapidement les anneaux de métal et a commencé à me poser des questions sur cette tenue, pourquoi je m'exhibais ainsi, ce que j'offrais, etc. Et donc je lui ai expliqué que j'avais été loué à des Maîtres et que je leur appartenais exclusivement pour tout le week-end. Je lui expliquai qu'il me serait donc impossible de le satisfaire, mais qu'il pouvait toujours contacter ma Maîtresse Sylvie s'il souhaitait me louer, qu'elle lui expliquerait les services que je pouvais rendre. En particulier je lui suggérai de retirer sa main car mes propriétaires seraient sans doute fâchés de voir que quelqu'un utilisait leur esclave. Et il retira sa main tout de suite, heureusement car mes Maîtres entrèrent à ce moment dans le bar. Je ne le savais pas encore, mais le couple qui entra à cet instant se dirigea immédiatement vers moi, ayant évidemment repéré ma tenue. C'était un couple d'une trentaine d'année, très beaux tous les deux, habillés très élégamment et de façon plutôt stricte. L'homme s'accouda au comptoir en me dévisageant et en analysant ma tenue. " Esclave Chris je suppose ? " dit-il volontairement d'une voix forte, sachant qu'elle serait entendue par plusieurs personnes autour de nous. " oui Maître, à vos ordres " répondis-je simplement, sachant que je devais être le plus discret possible, selon les consignes de ma Maîtresse.

" Vraiment notre amie Sylvie a magnifiquement fait les choses, cette esclave semble superbement préparée " puis s'adressant à sa compagne : " Allons nous installer un moment, je dois préciser quelques points " Je les suivis jusqu'à une table un peu à l'écart, dans un coin de la salle, où ils s'assirent tous les deux. " Reste debout je dois te donner tes conditions de vie pour le temps où tu nous appartiens " " oui Maître, à vos ordres " " tout d'abord, à partir de tout de suite, tu n'as plus le droit à aucune parole, ni même à aucun son. Au mieux tu auras le droit de répondre oui ou non avec ta tête, mais quoi qu'il t'arrive, quoi que l'on te dise, quels que soient tes ordres, aucun son ne devra sortir de ta bouche. C'est compris ? " J'allai répondre et ma bouche s'entrouvrait déjà mais je me repris et j'inclinai simplement la tête en baissant les yeux. " bien. Ensuite tu n'est plus autorisée à effectuer le moindre geste sans en avoir reçu l'ordre au préalable, quoi qu'il puisse se passer autour de toi, en particulier il t'arrivera de te trouver dans des situations pénibles, tu ne dois jamais bouger ni te plaindre, ni gémir. Compris ? " ... je baissai la tête et les yeux. " tu t'appelles juste esclave désormais et c'est le seul nom auquel tu dois répondre. Compris esclave ? " ... je baissai la tête et les yeux. Puis ils commencèrent à bavarder entre eux, ne s'occupant plus de moi pendant quelques temps. Ils commandèrent une consommation, et j'étais attentif à détecter le moindre de leurs signe pouvant être interprété comme un ordre. Un peu plus tard, le Maître dit à sa compagne : " j'ai envie d'uriner, mais je n'ai pas envie de bouger d'ici " je perçus que cette phrase pouvait me concerner mais je ne savais pas pourquoi ni comment donc je ne bougeai pas mais très rapidement, la Maîtresse se fâcha : " eh bien esclave tu te bouges, le Maître a besoin de toi, il va falloir que tu réagisses plus vite " je n'étais pas certain de comprendre ce que l'on attendait mais je me lançai, au risque de faire une bêtise que je ne manquerais pas de payer cher sans doute.

Je m'accroupis, me glissai sous la table jusqu'à me positionner entre les jambes du Maître, je défis sa braguette, baissai le slip et sortis la verge. Je la pris immédiatement dans ma bouche sachant maintenant ce qui allait m'arriver, je me préparai à devoir être inondé en un instant, Et en effet le jet d'urine violent se précipita dans ma bouche et je me dépêchais d'avaler aussi vite que possible car le jet ne semblait pas vouloir faiblir. L'urine était brûlante et très amère, et je me disais que je pourrais pas tout boire tellement le goût était fort et désagréable, mais je tins bon et la puissance du jet finit par faiblir, je repris mon souffle tout doucement en finissant les dernières gouttes. Je restai quelques instants en aspirant soigneusement toute goutte qui pouvait rester, et peut-être ce geste de succion lui procura un début de plaisir car la verge se tendit dans ma bouche, et devint dure et énorme. J'étais terrorisé à l'idée de ne pas faire ce que l'on attendait de moi alors je continuai ma caresse, de la même façon, en aspirant légèrement la verge contre ma langue enveloppante. Mais j'entendis un " stop " sonore. Immédiatement, je me retirai, et avec toutes les peines du monde tant la verge était tendue, je la réinstallai dans le slip, et refermai la braguette du Maître. Je me reculai, me relevai, et repris ma posture soumise, debout devant la table, les yeux et la tête baissés. Les Maîtres se levèrent et sans me regarder, la Maîtresse me lança sans aucune intonation : " viens esclave "

Je suivis les Maîtres immédiatement derrière eux, jusqu'à arriver au parking de leur voiture. Ils ouvrir le coffre et d'un geste de la tête m'ordonnèrent de m'y installer. La voiture partit, roula, puis s'arrêta, Les Maîtres sortirent, j'attendis patiemment... Ils revinrent, ouvrirent le capot, mais je ne bougeai pas, attendant les ordres. Ils me tendirent un collier métallique brillant couvert de pointes auquel était attachée une chaîne à gros maillons. La Maîtresse installa le collier, et fixa l'extrémité de la chaîne à un anneau du coffre, qui fut refermé sans autre explication.

Lorsque nous arrivâmes à notre destination, on me détacha, me sortit du coffre, et le Maître m'entraîna à l'arrière du pavillon qui devait être leur demeure. Il m'attacha à un poteau bas au milieu de la pelouse, et sans rien dire de plus, s'éloigna. Je ne vis plus personne d'ici la nuit, et je commençai à avoir froid car l'humidité tombait maintenant. Mais le Maître arriva, prit la laisse et m'entraîna dans la maison.

Il m'accrocha dans le salon, à un crochet mural, et me déshabilla entièrement. Il ne me restait plus que les anneaux sur mon sexe et le plug anal. Il inspecta soigneusement ces accessoires, et tira violemment sur le plug qui s'extirpa avec une impression d'arrachement terriblement douloureuse de mon anus. Tout de suite je sentis un objet énorme s'enfoncer dans mon anus, le Maître ne fit aucun essai pour m'enfoncer ce nouvel objet, il mit toutes ses forces et l'enfonça en un seul geste horriblement douloureux, et je ne pus arrêter le hurlement de douleur que s'échappa de ma gorge, je pleurai abondamment en sanglotant, " et ça ne fait que commencer, mais dis-toi bien esclave que c'est la dernière fois que je tolère un son. La prochaine fois tu seras punie, et je pense que tu devrais te dire qu'il vaudrait mieux que ça n'arrive pas " Il me détacha et me fis me coucher sur le dos par terre. Il installa sur ma tête, la couvrant entièrement avec juste un espace pour le cou une espèce de boîte qui semblait fermée. En fait il y avait un couvercle que le Maître leva. C'était un siège dont la forme ne laissait aucun doute sur son usage.

C'était une cuvette de WC, et la forme de la céramique était étudiée pour que l'orifice de sortie arrive exactement au niveau de ma bouche. J'étais horrifié par ce qui allait se passer. " attention esclave, il ne devra jamais sortir la moindre goutte ou la moindre matière de ce WC, donc tu sais ce que tu as à faire. Ceci est un essai, mais désormais tous les gens de cette maison se serviront de toi comme WC. " Et immédiatement je vis la Maîtresse s'asseoir, relever sa jupe, et me présenter ses fesses car elle ne portait pas de sous-vêtement. J'ouvrai grand la bouche pour être certain de rien laisser échapper. Ma bouche était ouverte, et malgré mon réflexe, je sentis dégouliner sur le côté de mon visage l'urine que commençait à déborder. J'étais terrifié mais que pouvais-je faire. Je savais désormais que je serais puni tôt ou tard, je devais en prendre mon parti. Je finis péniblement et douloureusement d'avaler tout ce qui m'avait été offert. Et la Maîtresse finit en s'essuyant les fesses et en jetant le papier dans la cuvette. Je le saisis et l'avalai aussi. Je pleurai désormais en continu, de honte, mais aussi sans doute de bonheur d'atteindre enfin cet état qui avait fait parti de mes plus profonds fantasmes.

Je fus abandonnée là alors que mes Maîtres avaient quitté la pièce. Puis plus tard, le Maître enleva le WC de ma tête et m'ordonna de me relever. Il me donna un petit objet métallique rond et me demanda de l'enfiler sur ma verge. Et il resta devant moi pour m'assurer que je m'acquittai correctement de ma tâche. Je tournai l'objet afin de comprendre ce que c'était. Il se présentait comme un petit tube de 5 centimètres de long, avec une partie fermée mais plus large, comme enflée. L'extrémité fermée possédait en fait une ouverture, et je compris que ce tube allait s'enfiler sur mon gland et s'y bloquer avec le rétrécissement.

Et puis je découvris avec horreur que l'intérieur du tube n'était pas lisse mais présentais de multiples pointes disposées irrégulièrement sur toute sa surface intérieure. Je relevai les yeux vers le Maître d'un regard effrayé et suppliant, mais il resta impassible, et ajouta même d'un ton exaspéré : " allez je ne vais pas attendre 3 heures, c'est pour t'éviter toute tentation, et probablement pour longtemps ". J'approchai alors le tube du bout de ma verge et commençai à appuyer.

Le bout du gland rentra plutôt facilement, mais lorsqu'il commença à être totalement engagé, les pointes commencèrent à me labourer la peau et la douleur devint vite insupportable. Je continuai malgré tout crispé sur ma verge qui avait complètement ramolli maintenant ce qui finalement atténuait la douleur un peu. Enfin prenant une grande respiration car je savais que rien ne pourrait arrêter ce supplice, je me résolus à en finir. Je pris ma verge dans ma main gauche fermement et d'une seule poussée terrible j'enfonçai l'objet démoniaque sur mon gland. La douleur fut gigantesque et je crus même que j'allai m'évanouir.

Un regard sur ma verge me montra que d'une part le tube s'était complètement encastré à la base du gland, et qu'il serait extrêmement difficile à ressortir, mais aussi que un peu de sang coulait du bout du tube montrant que la peau avait été écorchée par la violence du geste. Le Maître s'approcha ensuite avec un cadenas, passa l'anneau du cadenas dans un œil qui se trouvait devant le tube, puis en repliant ma verge vers le bas, il passa le cadenas par l'anneau de mes testicules, enfin j'entendis le sinistre clic qui indiquait la fin de ma verge en tant qu'instrument sexuel, et son début en tant que source de douleur permanente. Car c'est ce qui m'apparut instantanément, que la douleur serait permanente, et je craignais l'arrivée d'une érection qui serait absolument dramatique. Les pointes intérieures du tube me perçaient le gland, coincé dans cette position pliée en deux par le cadenas. " bon eh bien maintenant on va terminer le travail, comme convenu avec ta Maîtresse Sylvie, et il en sera fini de ta sexualité, du moins en tant que mâle" La Maîtresse arriva alors avec un appareillage compliqué qui s'averra en fait être un réchaud avec un creuset de terre.

Le Maître me fit m'allonger par terre, jambes écartées. La Maîtresse fit fondre du métal dans le creuset sur le réchaud, puis la Maître saisit le cadenas avec une pince et Maîtresse versa le métal fondu dans l'orifice de clé du cadenas, bloquant celui-ci à jamais. Je compris alors que à moins d'une souffrance terrible et probablement de blessures graves ou bien de détruire ces objets, je ne pourrai plus enlever mon appareil de chasteté. Par contre mes autres orifices restaient libres et Maître releva mes jambes arracha le plug énorme qui y était enfoncé et alors que mon anus était en feu de douleur, il me pénétra d'un coup violent. Pendant que Maître me labourait sans faiblir de sa verge gigantesque, Maîtresse s'assit sur mon visage, me demanda d'ouvrir la bouche et urina ce qui pour effet immédiat de faire jouir le Maître. A cet instant je souhaitai de nouveau servir de WC...


 

 
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