Madame Sylvie ma Maîtresse vénérée m'a
louée pour un week-end à un couple de Maîtres.
Elle m'a annoncé mon affectation aujourd'hui vendredi et je dois
partir rejoindre mes Maîtres ce soir et je leur appartiendrai tout
le week-end jusqu'à lundi matin. J'ai préparé ma tenue absolument
minimale car tout mon équipement pour ce séjour me sera fourni par
mes Maîtres.
Je n'ai comme consigne que de m'habiller pour le départ, avec
porte-jarretelles, bas noirs à coutures, un caleçon blanc en
lycra, des anneaux de testicules et pour ma verge, le plug anal
habituel et pour le haut un pull gris clair court et moulant à col
roulé. Je n'ai droit à rien d'autre ni sur moi ni aucun bagage. Je
me rends donc au rendez-vous convenu par ma Maîtresse qui est un
bar où je dois attendre mes nouveaux Maîtres.
Le trajet a été assez pénible déjà car ma tenue était
absolument impossible à cacher, d'autant plus que le pull, très
court puisqu'il arrivait juste en dessous de mon nombril, ne pouvait
en aucun cas cacher quoi que ce soit de mon anatomie. Le
porte-jarretelles noir lui-même étant tout-à fait évident sous
le tissus opaque certes mais si moulant du caleçon blanc.
Mon parcours dans les transports en commun ont été
extraordinairement pénibles, car je savais le ridicule de ma tenue,
les fesses largement dévoilées par le pull, montrant les
jarretelles et la dentelle des bas, la couture des bas évidentes au
niveau de mes chevilles, et surtout mon sexe rendu visible par
l'anneau de testicules qui produisent un gonflement de mes
testicules. Les anneaux de la verge ne lui permettent pas d'être
très fortement en érection, mais le relief des deux anneaux larges
de 1 centimètre, l'un à la base et l'autre juste sous le gland est
évident sous le tissus si moulant. Combien de regards rieurs se
sont posés sur moi qui avait reçu comme consigne absolue de ne
jamais essayer de cacher avec mes mains et de toujours rester debout
dans le métro !. J'en aurais pleuré de honte, et plusieurs fois
j'ai été prise à partie par des groupes qui m'ont insultée ou se
sont ouvertement moqués de moi. Mais finalement j'ai pu arriver au
bout et je ne pensais qu'à ce qui m'apparaissait vraiment comme un
délivrance maintenant, c'est-à-dire lorsque je serais prise en
main pas mes nouveaux Maîtres. Je me suis installée selon les
ordres de ma Maîtresse sur un tabouret au comptoir, j'ai commandé
une consommation et j'ai attendu. Je savais que je devais être en
place à 18h mais je n'avais aucune indication sur l'heure
d'arrivée de mes Maîtres. Une heure après ils n'étaient toujours
pas là et je commençai à m'inquiéter.
Un homme est même venu s'asseoir à côté de moi, Il ne s'est
pas intéressé à moi tout de suite, mais en fait au bout de
quelques minutes, il a commencé à regarder ma tenue, avec de plus
en plus d'insistance. Finalement il a commencé à toucher ma
cuisse, et à sentir la jarretelle et la dentelle du bas, sa main
s'est ensuite aventurée vers ma verge qui durcissait spontanément
maintenant. Il a senti très rapidement les anneaux de métal et a
commencé à me poser des questions sur cette tenue, pourquoi je
m'exhibais ainsi, ce que j'offrais, etc. Et donc je lui ai expliqué
que j'avais été loué à des Maîtres et que je leur appartenais
exclusivement pour tout le week-end. Je lui expliquai qu'il me
serait donc impossible de le satisfaire, mais qu'il pouvait toujours
contacter ma Maîtresse Sylvie s'il souhaitait me louer, qu'elle lui
expliquerait les services que je pouvais rendre. En particulier je
lui suggérai de retirer sa main car mes propriétaires seraient
sans doute fâchés de voir que quelqu'un utilisait leur esclave. Et
il retira sa main tout de suite, heureusement car mes Maîtres
entrèrent à ce moment dans le bar. Je ne le savais pas encore,
mais le couple qui entra à cet instant se dirigea immédiatement
vers moi, ayant évidemment repéré ma tenue. C'était un couple
d'une trentaine d'année, très beaux tous les deux, habillés très
élégamment et de façon plutôt stricte. L'homme s'accouda au
comptoir en me dévisageant et en analysant ma tenue. " Esclave
Chris je suppose ? " dit-il volontairement d'une voix forte,
sachant qu'elle serait entendue par plusieurs personnes autour de
nous. " oui Maître, à vos ordres " répondis-je
simplement, sachant que je devais être le plus discret possible,
selon les consignes de ma Maîtresse.
" Vraiment notre amie Sylvie a magnifiquement fait les
choses, cette esclave semble superbement préparée " puis
s'adressant à sa compagne : " Allons nous installer un moment,
je dois préciser quelques points " Je les suivis jusqu'à une
table un peu à l'écart, dans un coin de la salle, où ils
s'assirent tous les deux. " Reste debout je dois te donner tes
conditions de vie pour le temps où tu nous appartiens " "
oui Maître, à vos ordres " " tout d'abord, à partir de
tout de suite, tu n'as plus le droit à aucune parole, ni même à
aucun son. Au mieux tu auras le droit de répondre oui ou non avec
ta tête, mais quoi qu'il t'arrive, quoi que l'on te dise, quels que
soient tes ordres, aucun son ne devra sortir de ta bouche. C'est
compris ? " J'allai répondre et ma bouche s'entrouvrait déjà
mais je me repris et j'inclinai simplement la tête en baissant les
yeux. " bien. Ensuite tu n'est plus autorisée à effectuer le
moindre geste sans en avoir reçu l'ordre au préalable, quoi qu'il
puisse se passer autour de toi, en particulier il t'arrivera de te
trouver dans des situations pénibles, tu ne dois jamais bouger ni
te plaindre, ni gémir. Compris ? " ... je baissai la tête et
les yeux. " tu t'appelles juste esclave désormais et c'est le
seul nom auquel tu dois répondre. Compris esclave ? " ... je
baissai la tête et les yeux. Puis ils commencèrent à bavarder
entre eux, ne s'occupant plus de moi pendant quelques temps. Ils
commandèrent une consommation, et j'étais attentif à détecter le
moindre de leurs signe pouvant être interprété comme un ordre. Un
peu plus tard, le Maître dit à sa compagne : " j'ai envie
d'uriner, mais je n'ai pas envie de bouger d'ici " je perçus
que cette phrase pouvait me concerner mais je ne savais pas pourquoi
ni comment donc je ne bougeai pas mais très rapidement, la
Maîtresse se fâcha : " eh bien esclave tu te bouges, le
Maître a besoin de toi, il va falloir que tu réagisses plus vite
" je n'étais pas certain de comprendre ce que l'on attendait
mais je me lançai, au risque de faire une bêtise que je ne
manquerais pas de payer cher sans doute.
Je m'accroupis, me glissai sous la table jusqu'à me positionner
entre les jambes du Maître, je défis sa braguette, baissai le slip
et sortis la verge. Je la pris immédiatement dans ma bouche sachant
maintenant ce qui allait m'arriver, je me préparai à devoir être
inondé en un instant, Et en effet le jet d'urine violent se
précipita dans ma bouche et je me dépêchais d'avaler aussi vite
que possible car le jet ne semblait pas vouloir faiblir. L'urine
était brûlante et très amère, et je me disais que je pourrais
pas tout boire tellement le goût était fort et désagréable, mais
je tins bon et la puissance du jet finit par faiblir, je repris mon
souffle tout doucement en finissant les dernières gouttes. Je
restai quelques instants en aspirant soigneusement toute goutte qui
pouvait rester, et peut-être ce geste de succion lui procura un
début de plaisir car la verge se tendit dans ma bouche, et devint
dure et énorme. J'étais terrorisé à l'idée de ne pas faire ce
que l'on attendait de moi alors je continuai ma caresse, de la même
façon, en aspirant légèrement la verge contre ma langue
enveloppante. Mais j'entendis un " stop " sonore.
Immédiatement, je me retirai, et avec toutes les peines du monde
tant la verge était tendue, je la réinstallai dans le slip, et
refermai la braguette du Maître. Je me reculai, me relevai, et
repris ma posture soumise, debout devant la table, les yeux et la
tête baissés. Les Maîtres se levèrent et sans me regarder, la
Maîtresse me lança sans aucune intonation : " viens esclave
"
Je suivis les Maîtres immédiatement derrière eux, jusqu'à
arriver au parking de leur voiture. Ils ouvrir le coffre et d'un
geste de la tête m'ordonnèrent de m'y installer. La voiture
partit, roula, puis s'arrêta, Les Maîtres sortirent, j'attendis
patiemment... Ils revinrent, ouvrirent le capot, mais je ne bougeai
pas, attendant les ordres. Ils me tendirent un collier métallique
brillant couvert de pointes auquel était attachée une chaîne à
gros maillons. La Maîtresse installa le collier, et fixa
l'extrémité de la chaîne à un anneau du coffre, qui fut refermé
sans autre explication.
Lorsque nous arrivâmes à notre destination, on me détacha, me
sortit du coffre, et le Maître m'entraîna à l'arrière du
pavillon qui devait être leur demeure. Il m'attacha à un poteau
bas au milieu de la pelouse, et sans rien dire de plus, s'éloigna.
Je ne vis plus personne d'ici la nuit, et je commençai à avoir
froid car l'humidité tombait maintenant. Mais le Maître arriva,
prit la laisse et m'entraîna dans la maison.
Il m'accrocha dans le salon, à un crochet mural, et me
déshabilla entièrement. Il ne me restait plus que les anneaux sur
mon sexe et le plug anal. Il inspecta soigneusement ces accessoires,
et tira violemment sur le plug qui s'extirpa avec une impression
d'arrachement terriblement douloureuse de mon anus. Tout de suite je
sentis un objet énorme s'enfoncer dans mon anus, le Maître ne fit
aucun essai pour m'enfoncer ce nouvel objet, il mit toutes ses
forces et l'enfonça en un seul geste horriblement douloureux, et je
ne pus arrêter le hurlement de douleur que s'échappa de ma gorge,
je pleurai abondamment en sanglotant, " et ça ne fait que
commencer, mais dis-toi bien esclave que c'est la dernière fois que
je tolère un son. La prochaine fois tu seras punie, et je pense que
tu devrais te dire qu'il vaudrait mieux que ça n'arrive pas "
Il me détacha et me fis me coucher sur le dos par terre. Il
installa sur ma tête, la couvrant entièrement avec juste un espace
pour le cou une espèce de boîte qui semblait fermée. En fait il y
avait un couvercle que le Maître leva. C'était un siège dont la
forme ne laissait aucun doute sur son usage.
C'était une cuvette de WC, et la forme de la céramique était
étudiée pour que l'orifice de sortie arrive exactement au niveau
de ma bouche. J'étais horrifié par ce qui allait se passer. "
attention esclave, il ne devra jamais sortir la moindre goutte ou la
moindre matière de ce WC, donc tu sais ce que tu as à faire. Ceci
est un essai, mais désormais tous les gens de cette maison se
serviront de toi comme WC. " Et immédiatement je vis la
Maîtresse s'asseoir, relever sa jupe, et me présenter ses fesses
car elle ne portait pas de sous-vêtement. J'ouvrai grand la bouche
pour être certain de rien laisser échapper. Ma bouche était
ouverte, et malgré mon réflexe, je sentis dégouliner sur le
côté de mon visage l'urine que commençait à déborder. J'étais
terrifié mais que pouvais-je faire. Je savais désormais que je
serais puni tôt ou tard, je devais en prendre mon parti. Je finis
péniblement et douloureusement d'avaler tout ce qui m'avait été
offert. Et la Maîtresse finit en s'essuyant les fesses et en jetant
le papier dans la cuvette. Je le saisis et l'avalai aussi. Je
pleurai désormais en continu, de honte, mais aussi sans doute de
bonheur d'atteindre enfin cet état qui avait fait parti de mes plus
profonds fantasmes.
Je fus abandonnée là alors que mes Maîtres avaient quitté la
pièce. Puis plus tard, le Maître enleva le WC de ma tête et
m'ordonna de me relever. Il me donna un petit objet métallique rond
et me demanda de l'enfiler sur ma verge. Et il resta devant moi pour
m'assurer que je m'acquittai correctement de ma tâche. Je tournai
l'objet afin de comprendre ce que c'était. Il se présentait comme
un petit tube de 5 centimètres de long, avec une partie fermée
mais plus large, comme enflée. L'extrémité fermée possédait en
fait une ouverture, et je compris que ce tube allait s'enfiler sur
mon gland et s'y bloquer avec le rétrécissement.
Et puis je découvris avec horreur que l'intérieur du tube
n'était pas lisse mais présentais de multiples pointes disposées
irrégulièrement sur toute sa surface intérieure. Je relevai les
yeux vers le Maître d'un regard effrayé et suppliant, mais il
resta impassible, et ajouta même d'un ton exaspéré : " allez
je ne vais pas attendre 3 heures, c'est pour t'éviter toute
tentation, et probablement pour longtemps ". J'approchai alors
le tube du bout de ma verge et commençai à appuyer.
Le bout du gland rentra plutôt facilement, mais lorsqu'il
commença à être totalement engagé, les pointes commencèrent à
me labourer la peau et la douleur devint vite insupportable. Je
continuai malgré tout crispé sur ma verge qui avait complètement
ramolli maintenant ce qui finalement atténuait la douleur un peu.
Enfin prenant une grande respiration car je savais que rien ne
pourrait arrêter ce supplice, je me résolus à en finir. Je pris
ma verge dans ma main gauche fermement et d'une seule poussée
terrible j'enfonçai l'objet démoniaque sur mon gland. La douleur
fut gigantesque et je crus même que j'allai m'évanouir.
Un regard sur ma verge me montra que d'une part le tube s'était
complètement encastré à la base du gland, et qu'il serait
extrêmement difficile à ressortir, mais aussi que un peu de sang
coulait du bout du tube montrant que la peau avait été écorchée
par la violence du geste. Le Maître s'approcha ensuite avec un
cadenas, passa l'anneau du cadenas dans un œil qui se trouvait
devant le tube, puis en repliant ma verge vers le bas, il passa le
cadenas par l'anneau de mes testicules, enfin j'entendis le sinistre
clic qui indiquait la fin de ma verge en tant qu'instrument sexuel,
et son début en tant que source de douleur permanente. Car c'est ce
qui m'apparut instantanément, que la douleur serait permanente, et
je craignais l'arrivée d'une érection qui serait absolument
dramatique. Les pointes intérieures du tube me perçaient le gland,
coincé dans cette position pliée en deux par le cadenas. "
bon eh bien maintenant on va terminer le travail, comme convenu avec
ta Maîtresse Sylvie, et il en sera fini de ta sexualité, du moins
en tant que mâle" La Maîtresse arriva alors avec un
appareillage compliqué qui s'averra en fait être un réchaud avec
un creuset de terre.
Le Maître me fit m'allonger par terre, jambes écartées. La
Maîtresse fit fondre du métal dans le creuset sur le réchaud,
puis la Maître saisit le cadenas avec une pince et Maîtresse versa
le métal fondu dans l'orifice de clé du cadenas, bloquant celui-ci
à jamais. Je compris alors que à moins d'une souffrance terrible
et probablement de blessures graves ou bien de détruire ces objets,
je ne pourrai plus enlever mon appareil de chasteté. Par contre mes
autres orifices restaient libres et Maître releva mes jambes
arracha le plug énorme qui y était enfoncé et alors que mon anus
était en feu de douleur, il me pénétra d'un coup violent. Pendant
que Maître me labourait sans faiblir de sa verge gigantesque,
Maîtresse s'assit sur mon visage, me demanda d'ouvrir la bouche et
urina ce qui pour effet immédiat de faire jouir le Maître. A cet
instant je souhaitai de nouveau servir de WC...
|