<-- Retour Yoggy : rendez-vous au restaurant avec une femme pour parler d'affaires

 
C'est une histoire qui commence de manière tout à fait banale. 

Mercredi soir, j'ai rendez-vous avec une femme dans un restaurant pour parler affaire. Le restaurant c'est moi qui l'ai choisi. Il n'est pas très grand mais très bien quotté. On y fait de la cuisine de haute gastronomie permettant de prendre son temps de parler affaires et météo. Il est situé dans un petit village au bord du lac Léman et à un cachet fou. Mais en premier les présentations des deux principaux protagonistes. 

Lui (ou moi si tu préfères), 36 ans, cadre dans une entreprise internationale, je suis un vrai caméléon dans le domaine vestimentaire, mais ce soir c'est un trois pièces décontracté couleur sable et chemise col mao. 1,85m les yeux bleus, cheveux coupé style GI en un peu plus long et boucle d'oreille percing ce soir. Je ne dirais pas que j'étais sur mon trente et un mais quand même. Ce que les femmes apprécient chez moi c'est ma gallanterie, ma disponibilité, mon écoute. (Citation). Rien de bien particulier qui me détacherait du peloton des hommes courant. 

Elle, la petite quarantaine, environ 1,60, des yeux d'opalines soulignés d'un trait discret et très légèrement fardés. Une belle chevelure noire coupée au carré encadre de manière divine un visage un peu rond que quelques petites rides parcours et qui lui donnent un charme irrésistible. Elle porte un tailleur trois pièces variant entre noir et blanc, un chemisier blanc au travers duquel je devinais aisément le contour de son dessous brodé en bordure par une fine dentelle. Si elle voulait m'impressionner c'était réussi. Je suspecte que c'était son but pas vous ? Puisque l'on parle de phantasme, autant dire tout de suite que le restaurant faisait partie des miens, mais je ne m'attendais pas du tout à ce qui va suivre. Je vous vous fais grâce de la première partie du repas, qui fût délicieuse, un régal des sens, arrosé d'un excellent pichet de derrière les fagots. 

Deux heures après s'être mis à table nous arrivons tout naturellement au dessert. La discussion avait déjà pris la route de la confidence et du tralala des gens qui veulent s'en dire plus. Sans que je comprenne directement ce qui se passe, je sens se poser, entre mes jambes quelque chose de pas très large. Non ce n'était pas la tête du chien du restaurateur mais un pied dénudé et ce lui de ma vis-à-vis. J'allais justement porter mon verre à mes lèvres à ce moment même. Je ne sais pas combien de temps je suis resté là suspendu dans le temps, mon verre de vin à deux centimètres de ma bouche. Mon invitée esquissait un large sourire et ses yeux devinrent très malicieux. 

Son pied bougeait très gentiment sur mon sexe, et moi j'étais là comme un gros bêta ne sachant plus si je devais boire ou poser mon verre. L'excitation me gagna rapidement et elle n'a pas manqué une seule seconde de sentir l'appendice de mon alter ego gonflé à faire sauter ma braguette. Moi, j'essayais en même temps de lutter contre mon excitation et en même temps j'en jubilais de plaisir. Elle ne relâcha à aucun moment son mouvement du pied. Et de sentir, sous son pied, ce sexe gonflé semblait également l'exciter. Ce petit jeu dura jusqu'à ce que le garçon de table nous amène nos assiettes de dessert. Ouf ! J'avais l'impression d'être rouge comme une écrevisse. Je ne lui fis aucune remarque sur ce qui venait de ce passer mais tout mon corps et mes yeux devaient suffisamment en dire. Nous mangeâmes normalement notre dessert. Elle le savourant et moi ne sachant plus vraiment ce que j'avalais tellement j'étais pris d'excitations. La salle dans laquelle nous nous trouvions c'était déjà en partie vidée des autres clients. Nous étions entrain de finir notre dernier verre de vin quand les derniers clients quittèrent la salle. Le Garçon vint chercher nos assiettes : Le garçon : Est-ce que cela à été, désirez-vous autre chose ? Je regarde mon invitée : Un café ? lui demandai-je Elle : Dans un moment volontiers. Elle tourne la tête en direction du garçon et lui dit : ça ne vous ennuie pas que l'on vous appelle dans un moment. Le garçon : Non, je vous en prie. Il y a une sonnette derrière vous si vous désirer commander vos cafés. Sur ce il nous apporte un petit plat garnit de petits chocolats et biscuits, et se retire. 

Durant ce temps, le pied de mon invitée avait retrouvé sa place entre mes jambes avec la satisfaction de constater que tout était resté en place comme elle l'avait laissé. Mon sexe était tellement gonflé que ça en devenait presque douloureux. Elle tourna la tête en direction de l'entrée de la salle pour s'assurer que personne ne nous dérangerait. Je sentis son pied quitter mon entrejambe. Elle me regarda avec un sourire qui voulait en dire plus long que sa pensée puis tira sa chaise en arrière, se leva légèrement, remonta un peu sa jupe en dessus de ces genoux puis disparus sous la longue nappe de la table. Mon coeur battait la chamade, j'avais l'impression d'avoir 40 degré de fièvre ou d'être dans un sauna. J'étais complètement paralysé. Elle fit glisser le fermoir de ma braguette d'un geste sûre, y glissa une main avant de devoir finalement décrocher tout mon pantalon car l'engin convoité était trop grand pour est simplement sorti par la petite fenêtre. J'entendis juste un Wouahouww avant de sentir sa bouche chaude se refermer sur mon pénis. Ma tête était proche de l'explosion et elle n'était pas seule. Elle suça avec tant de passion qu'il m'était quasiment impossible de retenir un orgasme qui s'annonçait déjà d'une rare violence. Je glissais mes mains sous la table pour lui faire gentiment comprendre que j'allais éjaculer dans trop peu de temps à mon goût, c'est là qu'elle insista encore plus violemment. Je jouis si fortement dans sa bouche qu'une douleur violente me pris du sacrum jusqu'au bout de ma queue. Elle continua encore un long moment à me sucer comme si elle voulait me vider de toute ma substance. Moi je n'arrivais plus à me désexciter. Je remis mes mains sous la table pour lui faire comprendre que c'était ok. Je sais, c'est pas très élégant mais j'allais quand même pas le lui crier ! 

Elle rangea doucement mon engin encore dur et qui ne demandait qu'à continuer, puis sorti doucement de dessous la table. En même temps j'en profitais pour prendre sa place sous la table. Je crois qu'elle ne s'y attendait pas du tout. Là c'était à moi de la surprendre. Encore espérais-je qu'elle accepte. Elle s'assit sur sa chaise toujours en retrait de la table et ne fit pas mine de s'en approcher. Tout en m'avançant vers elle, je remontais le long de ses jambes avec mon visage, y laissant par-ci par-là des petits baisers chauds. Elle avait des collants noirs et fins, qui se terminaient à mi-cuisse. C'est là que j'ai senti l'odeur de sa peau. Je pouvais facilement voir qu'elle était très excitée, sa culotte était trempée. Elle commença à se laisser glisser sur la chaise pour m'offrir le maximum de son chat. Elle écarta elle-même sa une partie de son dessous des plus sexy qui soit, découvrant un abricot ouvert, aux lèvres gonflées et brillante. Avec délicatesse et sensualité je m'en approcha. C'était une belle et longue ligne s'annonçant douce comme du velours. Je voyais le bout de son clitoris bien gonflé et plein d'attente. Le tout surmonté d'une splendide ligne de poils taillée en rectangle. Du bout des lèvres et de mon nez, j'effleurai cette fleure offerte avant de dégager de mes doigts son clitoris qui ne demandait qu'a sortir au maximum. Je collais ma bouche autour de ce dernier pour en aspirer tout ce qu'il pouvait m'offrir. Ce fut aussi rapide que pour moi. 

Jouant de son clitoris avec ma langue dans ma bouche aspiré, elle se raidit très vite, sa respiration devint rapide et de petits spasmes m'annonçait qu'elle était sur le point de jouir. Les spasmes devinrent de plus en plus violent, elle coulait lutter en serrant ses jambes, mais rien n'y faisait, je ne lâchais pas prise. Deux à trois gros spasmes la secouèrent avant qu'elle n'attrape sa serviette pour étouffer un cri qui à mon avis à du être entendu jusque dans la cuisine. Puis elle se laissa complètement aller avant de me faire signe pour que j'arrête. Je fini par quelques bisous supplémentaires sur toutes ses parties encore offertes, puis je repris ma place, presque comme si de rien n'était. Seul nos regards parlaient, et ils suffisaient amplement pour dire tout le plaisir que l'on a eu tous les deux. Elle actionna la sonnette. Quelques instant après le garçon arriva avec un sourire et une expression qui ne nous laissa aucun doute quant à ce qu'il pouvait bien savoir. On se regarda, elle et moi avec un sourire jusqu'au oreille avant d'éclater de rire. On à commander les cafés, j'ai payé la note, on est sorti, on s'est simplement regarder avec toute cette complicité qu'il peut y avoir entre deux être, on s'est fait la bise et dit au revoir sans attendre aucun lendemain. 

C'était G E N I A L

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